Le référendum suisse sur la présence ou non de minarets dans le paysage suisse a fait réagir au quart de tour l'Échiquier. Criticus y voit une bonne nouvelle, mais pas encore une victoire. Ce vote laisse le Scriptorium perplexe. Il se demande, d'ailleurs, si en tant que Français, il est apte à juger cette décision. Pour le Faucon, tout comme pour l'hérétique, quoi que l'on pense de ces minarets (l'hérétique n'y voit pas un inconvénient alors que le Faucon aurait voté comme les Suisses), la décision du peuple doit être respectée, et l'un et l'autre fustigent les élites qui ne supportent pas un peuple qui pense différemment d'elles. Humeurs de Vache, s'il demeure sceptique devant cet usage particulier du référendum, pense qu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat, et, comme l'hérétique et le Faucon, que les élites sont promptes à vomir le vote du peuple.
Toréador, enfin, dans une parabole aussi osée que radicale, conclut que l'interdiction des minarets se concrétisera par la construction de miradors...
Justice / Le Pen : rééquilibrage de ma balance personnelle
Il y a 1 heure